Nature familière aux yeux dorés
Il lui sourit ainsi qu’au vent
Et même la terre semble feu follet
Lui rendant si bien ce rire d’argent
Allongé là il jubile d’un instant
Rayons aimés parcourant sa joue
Arrimé à l’herbe futile du temps
Il veut embrasser le soleil si doux
Les arbres roucoulent mélodieusement
Un chant, une fable à Dieux sûrement
Son ange lui pose un regard d’émois
Et pourtant humide est son visage
Mais ce moment n’est plus que mirage
Son sang s’épanche du côté droit
Il lui sourit ainsi qu’au vent
Et même la terre semble feu follet
Lui rendant si bien ce rire d’argent
Allongé là il jubile d’un instant
Rayons aimés parcourant sa joue
Arrimé à l’herbe futile du temps
Il veut embrasser le soleil si doux
Les arbres roucoulent mélodieusement
Un chant, une fable à Dieux sûrement
Son ange lui pose un regard d’émois
Et pourtant humide est son visage
Mais ce moment n’est plus que mirage
Son sang s’épanche du côté droit
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